L’ardoise de Corrèze (Travassac et Allassac) bénéficie d’une réputation de qualité sans égale due à sa structure géologique. Inaltérable, résistante à la flexion, parfaitement imperméable et résistante au choc – et donc à la grêle – l’ardoise de Corrèze garantie des toits plus que centenaires et est parfaitement adaptée aux bâtiments les plus anciens comme les plus modernes.
Ces ardoises trônent aussi fièrement sur des édifices célèbres comme l’abbaye de Mont st Michel – photo ci-dessous – (ardoises de Travassac) ou l’église du Sacré-Cœur de Rodez (ardoises d’Allassac) que sur les toits des villages du Limousin et d’Auvergne.
En 1989, Jean-François Bugeat reprend l’exploitation des ardoisières de Travassac et ouvre un nouveau filon. La demande d’ardoises neuves ne cesse d’accroître du fait de la rareté des stocks de récupération. En 2002, après quelques années d’essais concluants, il rouvre la carrière d’Allassac fermée depuis 1976.
Elle produit aujourd’hui des ardoises modèle « Tuile d’Auvergne » qui permettent, en plus de l’ardoise de Travassac de répondre à une demande importante aussi bien des architectes que des couvreurs des régions Limousin, Auvergne et Midi-Pyrénées.